Dans l’allocution qu’il a prononcée à l’occasion de la commémoration du 75e anniversaire de l’Onu, le chef de l’État a mis en exergue sa volonté d’œuvrer à l’érection d’une société juste et équitable.
L’inclusion est une préoccupation majeure dans l’orientation politique de mon pays ». Cette phrase lâchée par le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, dans l’allocution qu’il a prononcée, le 22 septembre dernier, à l’occasion de la commémoration du 75e anniversaire de l’Organisation des Nations unies (Onu), illustre, à plus d’un titre, sa volonté permanente d’associer l’ensemble des franges de la population à l’œuvre de développement qu’il a entamée depuis son accession à la magistrature suprême.
C’est du reste, a-t-il indiqué, « toute la portée du programme politique de l’Égalité de chances » qu’il a impulsé en faveur d’une revalorisation des femmes, des jeunes, des personnes les plus vulnérables. Cela « afin que personne ne soit laissée en marge du développement ».
Et les faits plaident largement en sa faveur. D’autant plus que, depuis 2009, conscient de sa responsabilité et de sa tâche, le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, n’a de cesse d’œuvrer à l’établissement d’une société plus juste, égalitaire et méritocratique. De sorte qu’il a mis fin à certaines pratiques fortement établies dans notre environnement. En luttant contre les discriminations. Dans cette optique, il a décrété la « Décennie de la Femme » tout en favorisant la mise en place d’un cadre réservant un certain nombre de fonctions électives aux jeunes et aux femmes.
D’où a-t-il indiqué, « c’est dans cet élan qu’il m’a été donné de nommer récemment une femme aux fonctions de Premier ministre ».