L’organisation mondiale de la santé a fait part, le 31 août dernier, de ses inquiétudes face au nouveau variant baptisé « Mu », plus dangereux que le variant delta et qui présenterait une forte résistance au vaccin, avec une forte prévalence en Colombie, en Equateur. Ledit variant a déjà été détecté en Europe (France).
L’annonce du 31 août dernier, de l’Organisation mondiale de la sante (OMS) le 31 août dernier à travers laquelle elle se disait préoccupée par les risques énormes pour la santé que présente le variant « Mu » détecté pour la première fois en Colombie en janvier dernier, et signalé dans d’autres pays d’Amérique du sud et en Europe, en France notamment, fait froid au dos.
Car ce nouveau variant présenterait de nombreuses mutations qui engendre une forte résistance aux vaccins. L’organisation mondiale de la santé, appelle donc à la prudence face à ce nouveau variant car ne disposant pas encore d’assez de données. Si à travers le monde le vaccin a toujours été présenté comme seul remède par les autorités en charge de la riposte contre la covid-19, l’apparition du nouveau variant remet en cause le principe de vaccination en raison de sa mutation qui présente de nombreuses limites et qui donne lieu de s‘interroger sur combien de doses aurons-nous besoin pour mettre fin à cette pandémie ? une proposition a été faite par l’OMS-Afrique sur sa page Facebook : « La médecine traditionnelle offre d’immenses opportunités pour riposter à la Covid-19 dans la Région africaine ». Cette proposition devrait donc pousser les Africains à la réflexion.
Wylma Ogoulat