C’est pour répondre à la question que le ministre des Travaux publics Léon Armel Bounda Balonzi, a effectué une importante visite de terrain à Libreville et Owendo. Il était question pour le membre du gouvernement qui tient coûte-que-coûte à s’inscrire dans la philosophie du président de la République Ali Bongo Ondimba, pour qui l’implémentation du Plan d’Accélération de la Transformation (PAT) passe au dessus de tout en tant qu’il représente la stratégie par laquelle il ambitionne de voir son pays reprendre avec la croissance ralentie en partie par la crise sanitaire Covid-19 et les populations connaître un train de vie meilleur.
C’est un sentiment de satisfaction général qui s’est dégagé chez Bounda Balonzi qui a constaté des avancées significatives conformément au cahier des charges, notamment sur la voie Mindoubé-Igoumié où les travaux des voiries urbaines sont achevés dans leur majorité. motif de satisfaction pour les usagers qui voient ainsi la circulation devenir ou redevenir fluide, c’est selon, leur permettant de se mouvoir à toutes les heures de la journée sans craindre ou redouter d’éventuels obstacles. Ce sont des signes qui montrent que le PAT est bel et bien en marche et que le gouvernement affiche sa ferme détermination à répondre favorablement aux vœux du président de la République. Les réalités vécues à Libreville et Owendo contraste avec celles de l’arrière-pays, à Makokou par exemple où Léon Armel Bounda Balonzi s’est récemment rendu dans une délégation interministérielle qui a constaté l’état piteux de la route de Loaloa qui s’apparente aux cent kilomètres Ovan-Makokou qui méritent d’être vite réhabilités si l’on tient à ce que les usagers n’aient plus à payer un lourd tribut et que l’activité économique soit soutenue dans cette province qui regorge de richesses de toutes sortes.
Rien à avoir avec Libreville et Owendo où chaque jour apporte son lot de surprises agréables sans doute aussi parce que la présence du maître des céans en la personne du ministre des Travaux publics est quasi-régulière au point de mettre la pression sur les entreprises adjudicataires avec lesquelles Léon Armel Bounda Balonzi discutent assez régulièrement de l’état d’avancement des travaux qui leur sont confiés. Passer quelques jours en dehors de ces deux agglomérations et retournez-y, vous aurez l’air de vivre dans un autre monde. La raison est toute simple, il ne se passe pas de temps sans que n’intervienne un changement notable, notamment dans le domaine des voiries urbaines. Faire que ce que vivent les populations circulant sur les artères rénovées, celles de l’intérieur du pays le vivent également, c’est ce à quoi s’attèle le gouvernement de la République qui veut marquer sa fidélité au président de la République Ali Bongo Ondimba qui l’attend sur les résultats. Certes, le chef de l’Etat reconnait que beaucoup reste à faire car il y a eu du retard à l’allumage, mais il est plutôt sensé d’aussi admettre que des réalisations sont palpables qui prouvent qu’il ne trahit pas le pacte tissé avec ses compatriotes depuis son arrivée à la magistrature suprême.
Jérémie-Gustave Nzamba