Le discours de Faustin Boukoubi au travaux de la 145 ème Assemblée de l’union interparlementaire de Kigali (Rwanda) le 13 octobre 2022, a porté sur la question de la parité homme-femme dans son pays.
La thématique centrale de ce rendez-vous des présidents des parlements a gravité autour de l’égalité homme-femme. Faustin Boukoubi a rappelé les efforts fournis par les plus hautes autorités du Gabon en tête desquelles le Président Ali Bongo Ondimba pour l’égalité des chances en général et l’égalité des sexes en particulier.
Une politique, a-t-il expliqué, qui se décline à la fois sous l’angle normatif, en définissant des quotas en faveur des femmes et des jeunes, et sous l’angle qualitatif. Le Président du perchoir a ajouté : « Au plan familial, l’instauration d’une collégialité positive de la gestion du foyer ; le bannissement et la pénalisation de toutes formes de violences faites aux femmes assorties d’un numéro vert, gratuit, pour dénoncer les cas délictuels éventuels ; la protection des femmes démunies, particulièrement les veuves et les orphelins – une assurance maladie universelle leur est octroyée-, sont notamment les mesures sociales et juridiques favorables au genre ».
Rappelons qu’au Gabon, Le Parlement gabonais (Sénat et Assemblée nationale) a adopté rapidement et presque unanimement , tous les textes produits par le gouvernement relatifs aux questions de genre. Le Pan a précisé : « Au-delà du dispositif législatif, la place de la femme dans la société gabonaise est naturellement centrale et cela se répercute dans les processus décisionnels de l’État où la plupart des institutions sont dirigées par des femmes, de même que certains postes clés sont occupés par des femmes dans le gouvernement et la haute administration ».
Le défi actuelle du Gabon a-t-il conclu , concerne « l’instauration de l’égalité au niveau de la composition des instances électives où la règle des 30% a déjà été adoptée.
A. A. T