Le Président gabonais Ali Bongo Ondimba, désormais président en exercice de la Communauté économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC). Il succède à ce poste son homologue congolais, Etienne Tsisekedi Tchilombo.
La ville de Kinshasa a abrité le 25 février dernier les assises de la 22ème session de la Conférence des Chefs d’État et de gouvernements de la Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC). La rencontre de la capitale congolaise a vu la présence des Chefs d’État et de gouvernements . Parmi lesquels, le Président gabonais Ali Bongo Ondimba. Mais aussi , le Représentant des Nations-Unies pour l’Afrique Centrale (ONUCA), du président de la Commission de l’organisation et bien d’autres hôtes de marque et personnalités.
Un point était inscrit à l’ordre du jour: la passation de la présidence en exercice de la CEEAC. C’est désormais le président gabonais Ali Bongo Ondimba qui assurera pendant cette année 2023 la présidence en exercice de cet organisme sous-régional d’Afrique Centrale. Il succède son ami et frère, le Président de la République démocratique du Congo (RDC), Étienne Tsisekedi. Au terme de son mandat, le Chef de l’État congolais a présenté son bilan. Un bilan jugé positif par ses pairs et axé sur la sécurité, l’éducation, la recherche scientifique et technologique, la culture, la lutte contre la piraterie maritime, etc.
Des chantiers, disait le numéro un congolais ,que son successeur devrait poursuivre pour le bien et le bonheur des populations communautaires. Des défis auxquels le président gabonais entend relever. A en juger le maçon au pied du mur. Il faut rappeler que la CEEAC compte onze (11) pays à savoir : le Gabon, le Cameroun, la Guinée-Équatoriale, la RDC, le Burundi, le Rwanda , le Tchad, le Sao Tome et Principe , la Centrafrique et l’Angola.
Juslin Engongha