Recouvert à plus de 80% de forêt et appartenant à l’une des trois régions, « poumon vert », de la planète, le Gabon n’a pas failli cette semaine à la règle que lui impose la mondialisation et la vie internationale, consistant à célébrer, une fois l’an, la journée dédiée au couvert végétal.
Le pays aux 13 parcs nationaux qui s’est depuis lancé dans l’observation de politiques environnementales courageuses, a tenu à faire entendre son écho au-delà de ses frontières par nouvelles technologies de la communication interposées. Ainsi, des ateliers de restitution dirigés par des experts du Ministère des Eaux et Forêts notamment ont été organisés. Occasion pour les exposants de revenir sur la spécificité et les atouts que présente le Gabon qui, comme on l’a vu lors du « One Forest Summit », est qualifié de bon élève et sert donc d’exemple non seulement en Afrique, mais aussi de par le monde comme témoigne le crédit accordé à son président Ali Bongo Ondimba dans les fora internationaux consacrés aux questions environnementales.
Avec le réchauffement climatique durement ressenti ci et là à travers toutes ses manifestations (pics de chaleur, raz-de-marée et autres…), la situation qui se dessine en pointillés oblige les dirigeants du monde et les populations à comprendre les enjeux du moment qui commandent que l’on adopte de nouveaux comportements vis-à-vis de la gestion des forêts plus que précieuses pour la survie de l’humanité tout entière. Tel est le message depuis véhiculé au monde par le chef d’État gabonais qui œuvre inlassablement à la préservation de la forêt gabonaise dans le souci de faire des émules déjà dans les pays du Bassin du Congo, région à laquelle appartient le Gabon.
Jérémie-Gustave Nzamba